•       Les 10 commandements de dieu
  • les 4 premiers commandements concernent la relation entre Dieu et les hommes, autrement dit l’alliance
  • es 6 commandements suivants traitent des rapports au sein de la société, selon le principe, sous-entendu, de la réciprocité et de la « Règle d’or » : « ne fais pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît » (Tobie 4, 15).
  • Extraits de l’Ecriture sainte d’après la New American Bible
  • Textes d’après le Catechism of the Catholic Church aux Etats-Unis
  • Textes d’après The Documents of Vatican II,
  • Textes d’après le Code of Canon Law
  •  

Les lois divines immuables. Dieu a dit : « Car je suis l’Eternel, je ne change pas » (Malachie 3 :6).

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Les vertus selon Hildegarde de Bingen Textes Tirés du Livre des Mérites de la Vie

Les 10 commandements de dieu

A la recherche d’une compréhension plus profonde de la foi catholique

1/ Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. (Ex. 20:2-3)

Tu adoreras Dieu seul et tu L’aimeras plus que tout.

Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays
d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras
pas d’autres dieux devant ma face. (Ex. 20:2-3)

vous devez vous rappeler que Jésus-Christ,
le Fondateur du christianisme, a dit que vous devez vivre de toute parole
qui sort de la bouche de Dieu (Matthieu 4 :4). Grâce à Son aide, vous devez
vivre selon les commandements divins, afin d’obtenir la vie éternelle
(Matthieu 19 :17).

Le premier commandement nous oblige à reconnaître
Dieu comme seul et unique. Il est le seul que nous devons
adorer dans la foi, l’espérance et l’amour. Ces vertus s’expriment
de plusieurs façons, surtout par la participation à
l’unique et parfait sacrifice du Christ, renouvelé dans la
liturgie eucharistique. Nous honorons Dieu aussi en lui
exprimant nos besoins dans la prière, reconnaissant ainsi son
pouvoir et sa providence.

Il nous maintient en vie et c’est pourquoi nous devons reconnaître sa
majesté, sa gloire et sa transcendance, et l’obligation qui en
découle de l’aimer et de le louer.Aucune autre réalité ne doit
prendre la place de Dieu comme objet de notre ultime loyauté,
dévotion et allégeance.

Examen de conscience 

J’ai été superstitieux…….. par des pensées….. par des paroles…… par des pratiques…………………..
. J’ai participé à des pratiques magiques, idolâtres, ésotériques, spirites, occultes ………
. J’ai participé à l’activité de groupes incompatibles avec la Foi (franc-maçonnerie, sociétés secrètes, etc.)

2/ Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face

Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et
qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais
miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements. (Ex. 20:4-6)

Le Catéchisme de l’Église catholique nous apprend
pourquoi nous devons respecter le nom de Dieu. «Parmi
toutes les paroles de la Révélation il en est une, singulière, qui
est la révélation de son nom» (n° 2143). 

Le Catéchisme de l’Église catholique nous rappelle que:
«Le blasphème s’oppose directement au deuxième commandement.
Il consiste à proférer contre Dieu — intérieurement
ou extérieurement — des paroles de haine, de reproche, de
défi, à dire du mal de Dieu, à manquer de respect envers Lui
dans ses propos, à abuser du nom de Dieu … L’interdiction du
blasphème s’étend aux paroles contre l’Église du Christ, les
saints, les choses sacrées»

Examen de conscience 

J’ai blasphémé… mal parlé de Dieu… de la Religion… de l’Eglise… des chrétiens…
. J’ai manqué la Messe le dimanche, les fêtes d’obligation, sans raison grave ……………
. J’y ai assisté sans prier, en y étant distrait, ou pour avoir la conscience tranquille ……….
. J’ai travaillé le dimanche sans nécessité………………………………………………………………….

5 indices évoquent des idoles possibles dans le monde d’aujourd’hui : les jeux vidéo, l’alcool, le tabac, l’argent, la célébrité.

3/ Tu ne prendras point le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain ; car l’Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain »

Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain; car l’Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. (Ex.20:7)

Appeler quelqu’un par son nom, c’est entrer en relation avec lui. D’anonyme, il devient plus proche et existe pleinement. Dieu s’est révélé à plusieurs reprises au long de l’Histoire du salut, en donnant son nom. Il nous a donc ouvert une porte pour le rencontrer, en toute vérité.
Parfois, on est tenté d’utiliser le nom du Seigneur pour jurer, ou faire de fausses promesses sur son nom pour appuyer des convictions ou des actions personnelles. Ce n’est plus sa Parole qui prime mais la notre. On est aussi parfois tenté de dire du mal du Seigneur. C’est ce que l’on
appelle un blasphème.
Ce commandement est donc une alerte pour nous rendre vigilant à la manière dont nous « utilisons » le nom du Seigneur. C’est la notion de respect qui est primordiale ici.

le poste que Dieu occupe en qualité de Souverain suprême de l’univers :
« Tu ne prendras point le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain ; car l’Eternel
ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain » (Exode 20 :7).
Dans la Bible, les noms propres ont une signification toute particulière.

« l’Eternel ne tiendra
point pour pur celui qui aura pris son nom en vain ». Le critère de la pureté
spirituelle est l’attitude d’une personne à l’égard du nom divin. Un homme est pur, ou impur, selon la façon dont il utilise ce nom avec respect et sincérité, dans un esprit d’adoration ou par motif de vanité seulement. Réalisez-vous ce que cela signifie ? Cela veut dire qu’il vaut bien mieux renoncer à se servir du nom divin, que d’en parler et de le mentionner fréquemment, sans le respect et l’adoration qu’on lui doit. Ce point important fait l’objet de l’un des Dix grands Commandements de la loi divine spirituelle !

 

Examen de conscience

« Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux […]
Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles
que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ?
Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? » (Psaume 8 :2-5).
Ces versets représentent Dieu comme élevant Sa gloire au-dessus de
tout. Il n’est donc pas étonnant que Son nom et Son poste doivent
être respectés.

4/ Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel

Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour [le samedi] est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour: c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié. (Ex.20:8-11)

 

Parfois, le dimanche, on est tenté de privilégier des activités pour soi-même au détriment d’une relation avec le Seigneur. Comme toute relation, celle-ci a besoin de temps gratuit et institué pour se développer.
Ce commandement est donc une parole de vie attirant notre attention sur l’importance de sauvegarder une qualité de relation avec le Seigneur. Y consacrer la journée du dimanche permet de faire l’expérience d’une vie en communauté chrétienne.

Notre croyance dans la sainteté de la vie humaine est
enracinée dans les Écritures, Parole de Dieu. Le livre de la
Genèse enseigne que les êtres humains sont créés à l’image
et à la ressemblance de Dieu. «Tu ne commettras pas de
meurtre» «Tu ne tueras pas» (Ex 20, 13) dit le Seigneur à Moïse
en lui donnant les commandements. «Choisis donc la vie,
pour que vous viviez, toi et ta descendance…» (Dt 30, 19).
Toute la vie et les enseignements de Jésus confirment la
dignité de la vie humaine et la valeur de chaque personne.
Jésus a dit: «Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie,
pour qu’ils l’aient en abondance» (Jn 10, 10).

C’est une réflection vivante, pour aujourd’hui, du commandement
très clair donné par Dieu: «Tu ne tueras pas.» «Tu ne
commettras pas de meurtre.» La transgression primordiale
contre Dieu, source de la vie, consiste à détruire la vie.

Examen de conscience

J’ai blasphémé… mal parlé de Dieu… de la Religion… de l’Eglise… des chrétiens…
. J’ai manqué la Messe le dimanche, les fêtes d’obligation, sans raison grave ……………
. J’y ai assisté sans prier, en y étant distrait, ou pour avoir la conscience tranquille ……….
. J’ai travaillé le dimanche sans nécessité………………………………………………………………….

Manquer la messe du dimanche.
Être distrait volontairement pendant la messe.
Communier en état de péché Mortel, sans préparation ni attention.
Ne pas respecter le repos dominical.
Ne pas se confesser.

5/ Honore ton père et ta mère: Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne. (Ex. 20:12)

 

Notre famille est notre premier lieu de vie, qu’elle soit biologique ou d’adoption. C’est là que l’on peut le plus souvent expérimenter la liberté, la fraternité, la confiance, le respect et l’amour.
Nous sommes parfois tentés de ne voir que les contraintes liées à la vie quotidienne et de ne considérer parents et éducateurs que par ce prisme réducteur. Par delà règles et exigences, c’est pourtant la recherche du bien commun qui prédomine et fait grandir, permet d’apprendre à vivre en
société.
Ce commandement invite donc à respecter ceux qui nous donnent la vie (parents, éducateurs, professeurs, employeurs, responsables politiques, etc.), et à travers eux, le Seigneur qui en est l’origine.

Le Décalogue nous rappelle que nos parents méritent notre respect: «Honore ton père et ta mère». Il n’y a rien d’arbitraire à cela. Ce n’est pas
un ordre émanant d’un Dieu capricieux. C’est la simple confirmation
de ce que nous savons tous. Nous devons aimer et chérir nos parents. Que nous soyons des adolescents à la recherche de leur indépendance ou des adultes à la recherche d’équilibre entre nos besoins et ceux des personnes
que nous aimons, nos parents demeurent une partie intégrale et essentielle de nos vies.

Examen de conscience

J’ai désobéi à mes parents, ou à mes supérieurs… ; j’ai mal pensé ou mal parlé d’eux ……………
. J’ai manqué à mes devoirs envers mes enfants… mes parents… ma famille… mes amis……………

6/ « Tu ne tueras point » (Exode 20 :13).

La vie est un don gratuit de Dieu. Elle est sacrée. Chacun est donc appelé à respecter sa propre vie et celle des autres. Il est de sa responsabilité de contribuer à faire grandir la paix autour de lui et en lui.
On est souvent tenté de « tuer » au sens figuré du terme. En laissant s’exprimer la colère, le mépris, le ressentiment, la jalousie, la calomnie, etc., on porte atteinte à la vie. On peut blesser moralement, spirituellement, physiquement. Cette énergie intérieure est à canaliser pour la transformer en force de vie.
« Tu ne tueras pas » invite donc à prendre exemple sur le Christ qui ne répond pas à la violence par la violence, pour faire grandir la paix autour de soi.

.Notre croyance dans la sainteté de la vie humaine est enracinée dans les Écritures, Parole de Dieu. Le livre de la Genèse enseigne que les êtres humains sont créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. «Tu ne commettras pas de meurtre» «Tu ne tueras pas» (Ex 20, 13) dit le Seigneur à Moïse en lui donnant les commandements. «Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance…

Examen de conscience

J’ai jugé le prochain, en parole ou en pensée… je l’ai mal regardé… je lui ai mal parlé…
. J’ai gardé de la haine, ou du mépris, ou de la rancune, ou un désir de vengeance, envers le prochain…
. J’ai refusé de lui pardonner……..… j’ai refusé de lui demander pardon…………………………
. J’ai insulté le prochain…….. ; je l’ai frappé…… ; j’ai mal parlé ou mal pensé de lui………
. J’ai donné de mauvais conseils…….. ; de mauvais exemples…………………………………………
. J’ai négligé d’être témoin du Christ auprès de mon prochain…………………………………………
. J’ai pratiqué l’avortement……..… ; j’ai conseillé l’avortement…. ; je l’ai laissé faire sans rien dire……

7/ « Tu ne commettras point d’adultère » (Exode 20 :14).

Ce commandement s’adresse à tous. Chacun est invité, au long de sa vie, à expérimenter la fécondité de la fidélité dans ses relations avec les autres (conjoint, amis, enfants, parents, etc.) et avec Dieu.
Les occasions d’infidélité ne manquent pas, pourtant. Il est malheureusement facile de porter atteinte à une relation de confiance. Même si les jeunes n’en sont pas encore à vivre la conjugalité, ils sont appelés à une fidélité dans leurs relations amicales, affectives, familiales et
dans leurs divers engagements, qu’ils soient sportifs, culturels, associatifs ou d’Eglise.
Cette parole de vie aide les hommes et les femmes à se construire, à se réaliser et à vivre ensemble dans la fidélité.

Une parole d’évangile évoquant la fidélité d’un bon serviteur.
1 indice fait référence à l’histoire de l’infidélité de David (2Sam 11).
2 indices concernent le passage d’évangile où Jésus est confronté à une femme adultère et à ses accusateurs. L’attention n’est pas portée
exclusivement sur l’infidélité de la femme, mais sur celle de tout un chacun. En effet, aucun des accusateurs ne lui jettera de pierre, reconnaissant
ainsi qu’il est lui aussi infidèle (au sens où il est capable de briser une relation de confiance) en certaines occasions.

L’Église a toujours enseigné que l’activité sexuelle qui
n’est pas en fonction de la procréation ou de l’amour d’un
homme et d’une femme vivant dans le mariage est défendue
par Dieu. Ce n’est pas seulement que ces actes sont défendus
nommément dans les Écritures, mais ils sont mauvais parce
qu’ils s’attaquent aux valeurs humaines fondamentales mises
de l’avant par les Écritures et s’opposent à des principes
sociaux évidents. La fornication, l’adultère, l’homosexualité et
les autres vices sexuels ont été condamnés à travers les
siècles par l’enseignement ordinaire de l’Église et par les
jugements formels du Magistère.

Examen de conscience

. J’ai consenti à des choses impures (pensées, désirs, paroles, regards, attitudes, jeux, télévision, internet).
. Je me suis vêtu(e) de façon inconvenable ou indécente ou provocante ………………………………
. J’ai eu des relations conjugales avec une personne sans être lié(e) à elle par le Sacrement du mariage ….
. J’ai trompé mon mari / ma femme……, en pensées…….., en actes .……………………..………
. J’ai commis des actes contraires à la chasteté conjugale (époux) ou à la continence (célibataires)……
. J’ai eu des pratiques impures, seul(e) ou avec d’autres…………………………………
. J’ai participé à la contraception (préservatif, stérilet, pilule, onanisme, stérilisation…)…………………

8/ « Tu ne déroberas point » (Exode 20 :15).

« Tu ne voleras pas » est un conseil en forme d’avertissement. Il attire l’attention sur la nécessité de se rappeler que tout bien, toute personne, toute relation nous est donnée en mains propres par le Seigneur. Nous en sommes responsables et nous avons à le faire fructifier pour le bien de tous.
Ce n’est pas la richesse en elle-même qui est condamnée, mais la manière dont nous utilisons ce qui nous a été donné.

Un homme amassant de l’argent, faisant ainsi penser à ceux qui ne partagent pas.
 Un passage d’évangile où Jésus dénonce ceux qui se glorifient de leurs possessions !

Deux grandes valeurs humaines se retrouvent dans le septième
commandement. La première c’est le droit des personnes
à garder ce qui leur appartient. Cette valeur découle de
l’ordre divin: «Tu ne commettras pas de vol» «Tu ne voleras
pas». La deuxième valeur humaine est la simple reconnaissance
du fait que les biens terrestres sont créés pour tous et
que des structures sociales appropriées doivent voir à la distribution
de ces biens de manière à ce que les besoins
humains de base de tous soient satisfaits.

Examen de conscience

J’ai volé, j’ai pris, j’ai gardé des choses qui ne m’appartenaient pas……… …………………………..
. J’ai causé du dommage au prochain…….. ; je n’ai pas réparé le dommage causé…………………….
. Je n’ai pas été honnête envers le prochain ou la société (Etat, organismes sociaux, impôts, etc.)……..
. J’ai copié en classe…….. ; j’ai triché lors d’examens ou en d’autres occasions……..
. Je me suis attribué, ou j’ai accepté qu’on m’attribue, les idées, les paroles ou les mérites d’un autre…

9/ « Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain »

Dieu a dit : « Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton
prochain » (Exode 20 :16). C’est seulement dans la mesure où il recherche la
vérité, et lui rend témoignage par ses actes, que l’homme peut connaître Dieu ; la parole divine est la vérité (Jean 17 :17). Le Christ a déclaré : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jean 14 :6).
Quels que soient ses autres défauts et faiblesses, si un individu est
disposé à vivre sans mentir, sans dissimulation, à dire la vérité, et à la reconnaître quand elle lui est révélée, il mérite le respect et toute l’aide nécessaire dont il a besoin, afin de vaincre ses penchants charnels.
La portée spirituelle du neuvième

La vérité divine est pleinement révélée en Jésus, venu comme lumière du monde, pour que «celui qui croit en moi ne reste pas dans les ténèbres» «quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres» (Jn 13, 46). Debout devant Ponce Pilate, Jésus proclama: «je ne suis venu dans le monde pour ceci: rendre témoignage à la vérité» (Jn 18, 37). Comme
disciples du Christ nous ne devrions jamais avoir honte de témoigner de la vérité. Les gens ne peuvent vivre ensemble s’ils ne se font pas confiance entre eux et s’ils ne disent pas la vérité. La franchise est une vertu exigeant l’honnêteté des gens les uns avec les autres.

Examen de conscience

J’ai dit des mensonges……..; j’ai omis de dire la vérité quand c’était nécessaire ou utile……………….
. J’ai dit de mon prochain, sans qu’il y ait nécessité, du mal qui était vrai (médisance)……………………
. J’ai dit de mon prochain du mal qui n’était pas vrai (calomnie)………………………………………….
. J’ai écouté volontiers ou j’ai répété à d’autres des médisances ou des calomnies…… 
. Je n’ai pas demandé pardon à mon prochain pour mes médisances ou mes calomnies……………………
. Je n’ai pas réparé le tort public fait à mon prochain par mes médisances ou mes calomnies……………
. J’ai été faux…….. double………simulateur………. hypocrite…………………………………………

10/ Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain

Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain. (Ex. 20:17)

On est souvent travaillé par l’envie d’être, d’avoir, de posséder la même chose que notre voisin, notre frère, notre ami. C’est une jalousie et un désagrément que l’on éprouve en voyant ce que l’on suppose être le bien-être des autres. On peut combattre cela en essayant de se réjouir des
réussites et des talents de chacun, en croyant en la bienveillance de Dieu pour tous.
Ce commandement est un conseil pour vivre heureux et en harmonie, en communion, avec ceux qui nous entourent.

Le combat entre le bien et le mal, entre ce qui est juste et
injuste, comporte une purification de notre coeur et nous
permet de contrôler nos désirs. Dans le sermon sur la montagne
Jésus enseigne: «Heureux les coeurs purs: ils verront
Dieu!» (Mt 5, 8). Qui sont ces coeurs purs? Le Catéchisme de
l’Église catholique l’explique: «Les ‘coeurs purs’ désignent
ceux qui ont accordé leur intelligence et leur volonté aux
exigences de la sainteté de Dieu, principalement en trois
domaines:la charité, la chasteté ou rectitude sexuelle,l’amour
de la vérité et l’orthodoxie de la foi. Il existe un lien entre la
pureté du coeur, du corps et de la foi» (2518).

Examen de conscience

Dieu a dit : « Tu ne convoiteras point la maison de ton
prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur,
ni sa servante, ni son b􀂰uf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain » (Exode 20 :17).
De tous les commandements, le dixième se rapporte plus
particulièrement aux rapports entre les hommes. La force de ce
commandement réside dans les mots : « ton prochain » et « qui appartienne à ton prochain. » Il n’y a rien de mal à désirer, en toute légitimité, une épouse, un serviteur, un bœuf ou un âne, mais non pas ceux de votre prochain.
Nous sommes ce que nous pensons !
Si, secrètement, vous rejetez la norme de Dieu et Sa voie, si vous convoitez
ce que vous ne pouvez pas posséder – ou ce que vous ne possédez pas
légitimement, avec la bénédiction divine, alors cette rébellion mentale donnera naissance à un péché.

PETIT GUIDE POUR LA CONFESSION (reprendre votre examen de conscience faite au dessus)

Jésus dit : « Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs. »
Matthieu 9, 12-13

La réception de l’Eucharistie est un acte sacré dans la foi catholique, et elle doit être accomplie dans des conditions spécifiques pour respecter sa signification profonde. Voici les principales conditions pour recevoir l’Eucharistie dignement :

1. Être en état de grâce

  • Il est essentiel d’être en état de grâce, c’est-à-dire exempt de péché mortel. Un péché mortel est un acte grave commis avec pleine connaissance et consentement. Selon l’Église, si quelqu’un est conscient d’avoir commis un péché mortel, il doit d’abord se confesser et recevoir l’absolution sacramentelle avant de communier. L’Église enseigne que recevoir l’Eucharistie en état de péché mortel constitue un sacrilège. (si vous prenez l’eucharistie en état de péché mortel, vous devez le confesser)
  • 2. Croire en la présence réelle

    • Le croyant doit avoir foi en la présence réelle de Jésus-Christ dans l’Eucharistie. L’Église catholique enseigne que le pain et le vin deviennent réellement le Corps et le Sang du Christ lors de la consécration à la messe. Cette croyance est fondamentale pour la réception de l’Eucharistie.

    3. Jeûne eucharistique

    • Traditionnellement, les catholiques doivent observer un jeûne d’au moins une heure avant de recevoir l’Eucharistie. Ce jeûne consiste à s’abstenir de nourriture et de boissons, à l’exception de l’eau et des médicaments. Ce temps de jeûne est un signe de respect et de préparation pour recevoir le Christ.

    4. Participation à la messe

    • La réception de l’Eucharistie est liée à la participation à la messe, car c’est lors de la messe que l’Eucharistie est célébrée et offerte. Participer activement à la messe, en écoutant la Parole de Dieu et en répondant aux prières, est une préparation essentielle pour recevoir l’Eucharistie.

    5. Être en communion avec l’Église

    • Les fidèles doivent être en communion avec l’Église catholique, c’est-à-dire accepter ses enseignements et être en bonne relation avec la communauté ecclésiale. Les catholiques excommuniés ou ceux en situation de rupture grave avec l’Église ne peuvent pas recevoir l’Eucharistie tant qu’ils n’ont pas rétabli cette communion.

    6. Désir de vivre selon l’Évangile

    • Enfin, ceux qui reçoivent l’Eucharistie doivent avoir l’intention de vivre en accord avec les enseignements de l’Évangile et de l’Église. Cela inclut un engagement à éviter le péché et à grandir dans l’amour de Dieu et du prochain.

    Conclusion

    L’Eucharistie est un don sacré et un mystère profond dans la vie chrétienne. Pour la recevoir dignement, il est nécessaire d’être en état de grâce, de croire en la présence réelle de Jésus-Christ, d’observer le jeûne eucharistique, de participer activement à la messe, d’être en communion avec l’Église, et de s’engager à vivre selon l’Évangile. Cette préparation spirituelle garantit que l’Eucharistie est reçue avec le respect et la foi qui lui sont dus.

1. Je vais voir le prêtre, et je fais avec lui le signe de croix :
« Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen »

2. Je demande au prêtre de me bénir : « Bénissez-moi, mon père, parce que j’ai péché »

3. Je dis depuis combien de temps je ne me suis pas confessé.

4. Je confesse mes péchés avec clarté, simplicité et confiance.

5. J’écoute le prêtre et je peux, éventuellement, dialoguer avec lui. Il
m’indique une pénitence, c’est-à-dire une prière ou un acte que je ferai
après ma confession pour manifester à Dieu que je veux changer et que
je regrette vraiment le mal que j’ai fait.

6. Je récite alors l’acte de contrition de tout mon coeur :

« Mon Dieu, j’ai un très grand regret de T’avoir offensé, parce que
Tu es infiniment bon, infiniment aimable, et que le péché Te déplaît.
Je prends la ferme résolution, avec le secours de Ta sainte grâce de
ne plus T’offenser et de faire pénitence ».

7. Le prêtre me donne alors le pardon de Dieu, l’absolution :
« Que Dieu notre Père te montre sa miséricorde. Par la mort et la
résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec Lui, et Il a envoyé
l’Esprit-Saint pour la rémission des péchés. Par le ministère de l’Eglise,
qu’Il te donne le pardon et la paix. Et moi, au nom du Père, du Fils et
du Saint-Esprit, je te pardonne tout tes péchés ».
Je fais alors le signe de croix en répondant : « Amen ! »

8. Le prêtre ajoute : « Va en paix ! ». Je réponds : « Je rends grâce à Dieu ».

9. Ensuite, je repars dans la joie en prenant le temps de remercier le
Seigneur de m’avoir pardonné, de m’avoir renouvelé son amitié. Je fais
la pénitence donnée par le prêtre.

I. POUR BIEN SE PREPARER A LA CONFESSION :

L’EXAMEN DE CONSCIENCE
Jésus nous a dit quel était le plus grand commandement : « Voici le
premier commandement, dit Jésus, tu aimeras le Seigneur Dieu de tout
ton coeur, de toute ta force et de tout ton esprit. Et voici le second,
poursuit Jésus, tu aimeras ton prochain comme toi-même. ».
Nous sommes appelés à aimer Dieu, les autres et nous-mêmes. Le
péché blesse cet amour. Dans la confession nous en demandons pardon.
Aussi, avant d’aller se confesser, il s’agit de prendre le temps de bien se
préparer en discernant ses péchés. Voici quelques pistes …